Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Les électeurs du 29 mai 2005, 4 ans plus tard

18/09/2009 13:46

Les électeurs du 29 mai 2005, 4 ans plus tard


Constitution européenne : où sont les nonistes ?
Les résultats médiocres obtenus aux européennes par les listes ayant porté le non en mai 2005 pourraient laisser croire que les Français s’accommodent de l’Europe actuelle. Il s’agit d’un trompe-l’œil. Depuis le référendum, tout a été fait pour nier le refus du peuple français d’une construction européenne fondée sur l’inégalité, l’argent-roi et la soumission aux puissances.
Or, nos concitoyens ne veulent plus de cette Europe. Ainsi, tous les partis dominants ont fait campagne pour son changement, le président de la République lui-même multipliant bravades et discours incantatoires, en contradiction avec sa politique et celle de ses prédécesseurs. Face à ce hold-up démocratique, les partis opposés aux dérives bruxelloises étaient à bout de souffle, sans que les formations nouvelles comme Debout la République aient pu s’enraciner dans le paysage politique. D’où l’abstention massive du 7 juin.
Hélas, le nœud coulant bruxellois continuera de se resserrer autour de notre démocratie, de nos services publics et de notre indépendance nationale, ce qui se traduira par la résurgence de l’esprit de mai 2005 : une Europe qui respecte les démocraties nationales, qui protège les emplois, qui garantit les droits sociaux, et qui conjugue les identités culturelles.
NDA
 
Retrouvez cette tribune et le dossier spécial de Libération sur son site.





Réforme pénitentiaire, démission pénitentiaire

18/09/2009 13:42

Réforme pénitentiaire, démission pénitentiaire


L’Assemblée nationale a commencé avant-hier à examiner la réforme pénitentiaire, replaçant au cœur du débat l’une des préoccupations majeures et légitimes des Français : la sécurité publique. Ne nous voilons pas la face, ce projet de loi porté par Michèle Alliot-Marie n’est pas bon et suscite de multiples craintes, qui paraissent hélas fondées. Je l’affirme ici avec la même liberté et la même franchise qui m’avaient conduit, au début du quinquennat, à soutenir la création des peines-plancher, effectivement indispensable pour enrayer la spirale de la délinquance, notamment des jeunes.
Le projet d’aujourd’hui vise, selon ses initiateurs, à apporter toute une série d’améliorations au système pénitentiaire, aussi bien pour l’humaniser que pour le rendre plus efficace.
Mais, avec les syndicats policiers comme certaines associations militant pour une justice protégeant davantage nos concitoyens, je suis obligé de constater que ce projet ne se contente pas d’ignorer la question centrale – le manque criant de moyens de la justice en France, moitié moindres par habitant qu’en Allemagne et en Grande-Bretagne – mais encore qu’il cherche, l’air de rien, à atténuer le problème de la surpopulation carcérale en remettant en liberté des milliers de condamnés à des peines courtes !
Ainsi, concrètement, les Juges d’Application des Peines (JAP), pourraient exempter de peine d’incarcération les personnes condamnées jusqu’à deux ans de prison, ce qui correspond à des condamnations pour des faits graves de violences aux personnes, d’agression sexuelle, etc. D’une manière générale, ce sont les faits de « petite délinquance », celle qui pourrit les cités et terrorise les quartiers qui seraient les premiers concernés et pour lesquels des peines de substitution (port de bracelet électronique, assignation à domicile, travaux d’intérêt général) seraient désormais systématiquement appliquées, renvoyant dans la nature les délinquants.
Un condamné à 2 ans de prison ferme ? Il ne passerait pas un seul jour derrière les barreaux, s’en tirant avec 9 mois de port de bracelet électronique suivis d’une libération conditionnelle ou de travaux d’intérêt général… Un condamné à 3 ans de prison ferme ? Il resterait au plus 9 mois dans un établissement pénitentiaire, avant d’en sortir avec un bracelet qu’il garderait pendant 6 mois, puis la libération conditionnelle (soit 15 mois de peine effective au lieu de 36 !).
Face à l’engorgement des tribunaux et à la surpopulation carcérale, la Garde des Sceaux avait admis en juin que, en France, pas moins de… 82000 condamnations à des peines de prisons n’étaient pas exécutées à cette date ! Mais pour commencer à résoudre le problème, quelle est la réponse du gouvernement ? Construit-il les prisons qui manquent, fournit-il aux tribunaux les moyens enfin décents de rendre la justice ? Non, il s’apprête à désengorger les établissements pénitentiaires en exemptant d’incarcération - ou en en réduisant substantiellement la durée - des délinquants à qui un gravissime message d’impunité va ainsi être envoyé ! Et que l’on ne vienne pas nous dire que cette généralisation des aménagements de peine va permettre de faire diminuer la récidive : il est bien évident que cette corrélation ne vaut que pour une population carcérale motivée par l’idée de la réinsertion et dont la libération conditionnelle n’est pas automatique.
Ajouté à cela un certain laxisme judiciaire, appliqué aux délits les moins graves jamais puni par l’emprisonnement (alors que la loi le permettrait), la réforme pénitentiaire risque en réalité d’accroître dramatiquement l’insécurité quotidienne dont souffrent les Français. Les syndicats des forces de sécurité publique s’en alarment à juste titre, dénonçant une politique incohérente de la chaîne pénale, qui met sous pression maximale une police et une gendarmerie dont on baisse les effectifs, tout en démissionnant lorsque ces dernières réussissent à traîner les délinquants devant les juges… Qu’est-ce donc que cette justice à deux vitesses, l’une, visible, au tribunal correctionnel, qui fait mine de condamner pour rassurer les Français, l’autre, bien plus discrète, exercée par les JAP, qui relâchent prématurément les délinquants ?
Hélas, cette contradiction flagrante semble résumer la politique du gouvernement, aussi bien dans ce domaine que dans bien d’autres : par devant, montrer les muscles, communiquer sur la reprise en main de tel ou tel service de l’Etat, faire voter des lois fermes (peines-plancher, etc.), et par derrière, laisser le désordre s’aggraver, exposant les Français à des maux auxquels, en réalité, on a renoncé depuis bien longtemps à s’attaquer sérieusement.
Face au tollé provoqué par son projet de loi, Michèle Alliot-Marie semble vouloir atténuer le laxisme des aménagements de peines qui y sont prévus. Attendons donc de voir quelles mesures précises seront proposées au Parlement mais, vous pouvez compter sur moi, je ne voterai jamais un texte aggravant le laxisme judiciaire.
NDA






Toujours De Gaulle

16/09/2009 16:12

Toujours De Gaulle


Voir De Gaulle

Un livre de Jean Lacouture

Genre :Biographie

Relié

Paru en 10/2005

 

Un livre simple sans fioritures qui nous livre différents aspects de la vie du Général De Gaulle. Une mention spéciale pour les textes de Jean Lacouture.






Finie la crise ?

16/09/2009 15:53

Finie la crise ?


La crise : un an... et toutes ses dents
 
Alors que l’on commémore le premier anniversaire de la faillite de Lehman Brothers, il convient de prendre un certain recul. Les économistes médiatiques, que l’on ne citera pas par charité, se sont discrédités par les diverses palinodies que nous avons pu entendre depuis 2007 (1). Souvenons-nous de cet économiste, fréquemment invité à la télévision (sur France 2) et qui se permet de conseiller les socialistes français, qui déclarait à l’été 2007 que la crise était purement celle du marché hypothécaire américain et qu’elle était de toute manière sous contrôle… Il sévit encore là où toute personne honnête serait allée cacher sa honte au plus profond d’une forêt.
Pourtant, cette crise, un certain nombre d’économistes l’avaient vue venir, et parfois de très loin. Ce ne sont cependant pas eux que l’on entend le plus, que ce soit dans les médias ou la communauté académique. Comprenne qui pourra… Par ailleurs, cette crise a connu des développements multiples. On en a rendu compte largement, et parfois quasiment au jour le jour (2). Ces développements ont tendu cependant à faire disparaître les causes profondes de cette dernière. Il est vrai que la crise de liquidité qui s’est déclenchée à la suite de la faillite de Lehman Brothers a été d’une telle ampleur et d’une telle gravité qu’elle obnubile l’attention. Elle ne s’est par ailleurs que très partiellement calmée. Les écarts de taux, les « spreads », restent actuellement très sensiblement au-dessus de ce qu’ils étaient avant septembre 2008.
Aujourd’hui, la crise commencée au début de 2007 connaît donc une accalmie. À voir comment les banques ont reconstitué leurs profits, et les banquiers leur appétit illimité, on pourrait même croire qu’elle est terminée. Il n’en est rien, et la stabilisation actuelle risque d’être provisoire. Les problèmes posés par cette crise n’ont en rien été résolus par les mesures prises depuis un an.
Il est particulièrement regrettable, mais pas spécialement surprenant, que le sentiment de relative sécurité dans lequel nous sommes depuis le mois de mai nous ait conduit à renoncer aux mesures les plus importantes et les plus radicales. Les gouvernements ont, par impéritie ou par dessein, laissé s’échapper le moment de la crise qui aurait aussi pu être celui des réformes. Mais ce moment n’a été qu’ajourné et en rien conjuré. Il nous faut nous préparer à d’autres moments de ce type pour ne pas, cette fois, laisser passer l’opportunité.
UNE CRISE TRIPLE
 
Cette crise en réalité conjuguait trois types de temporalités, dont l’enchevêtrement a tendu par ailleurs à en obscurcir les leçons (3). Dans le temps court, nous avons eu la crise de liquidité internationale déclenchée par la faillite de Lehman Brothers. Cette dernière a amplement démontré que, dans le court terme, le risque de système était très supérieur à l’aléa moral (4). Cette crise a pris les acteurs de marché et les autorités par surprise ; elle était pourtant parfaitement prévisible. Ce risque de système, qui est bien connu de tous ceux qui étudient les crises financières, a donc dominé les représentations. Son ajournement a conduit à un sentiment de soulagement, et le soulagement a induit le relâchement. Mais, ce n’est pas parce que l’on a ajourné cette crise de système que son risque a disparu. Les marchés ne sont pas devenus « efficients », comme on le prétend (5), pour autant (6), ni l’arbitrage un moyen d’aboutir à l’équilibre (7).
La dégradation de la situation du secteur bancaire fut continue depuis le début de l’été 2007. Elle traduisait la substitution du crédit à une politique des revenus aux Etats-Unis et chez leurs clones, Royaume-Uni, Espagne, Irlande et Islande.
Cette crise assumait ainsi dans le moyen terme une seconde nature qui dépassait de loin le simple problème du marché hypothécaire américain et des « subprimes » (8). En fait, si 54% de ces hypothèques à risque étaient titrisées en 2001, le pourcentage était passé à 75% en 2006. Globalement, avec l’explosion du marché des CDO et CLO, c’était bien le marché des produits dérivés qui était en cause. L’explosion de ce dernier, passé de 1500 milliards de dollars en 2002 à 45 500 milliards en 2007 révélait l’ampleur du problème (9).
Ce que la situation créée par la faillite de Lehman Brothers à mis au jour n’était autre que le processus de titrisation (10) qui a massivement généralisé ce risque et créé, sous l’apparence d’une situation de « partage du risque », toutes les conditions pour une contamination généralisée du système bancaire et financier (11). Ce problème montre que même si une régulation plus stricte est certainement nécessaire, elle ne saurait être suffisante. L’innovation financière aura toujours un moment d’avance sur la réglementation ; sauf, bien entendu, si cette dernière inclut des prohibitions comme cela avait été le cas avec le Glass-Steagall Act de 1933 qui fut démantelé en 1999 (12). On sait que le Gramm-Leach-Bliley Act fut le produit d’un lobbying puissant des grands groupes bancaires américains soutenus par le Secrétaire au Trésor de la Présidence Clinton, M. Robert Rubin. Ce dernier, après la fin du mandat Clinton, passa directement dans le groupe des conseillers de CityCorp devenu depuis CityGroup, la plus grande banque américaine.
C’est pourquoi la régulation prudentielle dont on parle tant doit s’accompagner de l’interdiction de certains types d’opérations, ainsi que du cloisonnement d’autres à certains acteurs. Sans cela elle restera un vain mot.
Mais, il y a un troisième moment dans cette crise, qui correspond cette fois à la longue durée. C’est bien l’inversion du rapport de force entre le capital et le travail, qui s’est produit dans les années 1980, qui a porté en lui cette crise.
Quand les profits mangent progressivement la totalité des gains de productivité, on ne peut plus maintenir la demande solvable, sans laquelle, rappelons-le, le capital accumulé ne peut se valoriser que par un engagement toujours plus important du crédit. C’est bien ce phénomène qui a engendré l’explosion du crédit que nous avons connu ces dernières années et qui a servi de détonateur à cette crise.
Il y a ici plusieurs causes à cette situation. Tout d’abord, pour affaiblir, voire briser le compromis salarial qui dominait dans les années 1950 et 1960, on a eu recours au découplage entre le marché sur lequel une société réalise ces profits et celui sur lequel elle recrute ses travailleurs. Ceci a pris diverses formes et porté divers noms. De la « contrainte extérieure » à la « mondialisation » nous avons eu une tendance permanente à mettre les travailleurs en concurrence pour que le moins disant et le mieux offrant puissent s’imposer (13).
Il y a eu ensuite le basculement progressif dans la « valeur actionnariale », traduction du « shareholder value ». Ce basculement, qui s’est réalisé à la fois du côté des entreprises privées et du côté des entreprises publiques que l’on a privatisées, s’est traduit par une mainmise de la finance sur les activités industrielles. Elle s’est accompagnée d’une demande pour des revenus toujours croissants, qui a exercé à son tour une pression sur les salaires des producteurs. Il y a dans ce système une certaine beauté en ceci que la rente financière est le plus souvent payée en salaires elle aussi. Elle ne saurait apparaître ainsi dans les statistiques, mais elle explique l’emballement des rémunérations du secteur de la finance et du petit groupe social qui y est associé.
Pour lire la suite et retrouver l’intégralité de la tribune de Jacques Sapir, cliquez ici.





Réélection de Barroso : où est donc la "démocratie européenne" ?

16/09/2009 15:46

Réélection de Barroso : où est donc la


COMMUNIQUE DE PRESSE
Réélection de Barroso : le néant démocratique européen
La réélection du président sortant de la Commission européenne confirme de manière consternante que l’Union européenne et son Parlement ne sont qu’un trou noir démocratique.
Un candidat unique, une large partie de l’opposition sociale-démocrate qui vote avec la majorité en l’échange de places, un « programme d’action » du prétendant qui n’est rien d’autre qu’un catalogue incantatoire de vaines promesses,… tout ceci forme la « démocratie européenne » au nom de laquelle on tue à petit feu depuis 20 ans la démocratie nationale, où le vote des citoyens et des parlementaires n’a plus aucun pouvoir sur les grandes décisions.
Le Parlement européen n’est pas le lieu d’un débat et de choix alternatifs véritables, comme le prouve à nouveau aujourd’hui la réélection de Barroso. Il n’est pas non plus le lieu où des élus des pays membres défendent avec constance et dans la transparence les intérêts des peuples qu’ils sont censés vaguement représenter.
Ce néant démocratique, malgré toute la vaine agitation d’un Daniel Cohn Bendit, est à la mesure d’élections européennes, notamment en France, où les enjeux sont dissimulés, les listes indépendantes réduites au silence, le double discours roi.
Ainsi, la nécessité historique d’une réorientation profonde de la construction européenne demeure intacte et Debout la République continuera à y prendre toute sa part.
 
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du rassemblement gaulliste Debout la République





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